Il fallait... peu
Le défit de la vie, le dépit de l'avis,
Qui ne sait !
Un jeu de mage en page, te créer et te vivre,
Qui n’essai !
Dans nouvel âme, émets les mots
Qui naissaient
Pour dépasser les maux, émoi de toi !
M'envelopper de notes promesses et berceuses
Qui massent
De semblant qui comptent et se perdre dans le noir
Qui masque
Vouloir me panser en se passant de toi, un soir
Qui hélas !
A bout pourtant bien loin de pensées, sinueuses
Qui lassent…
M'attiser toute petite flamme et tu me souffles
J’écoute,
Des mots brulants qui ricochent à mes tympans
Eventé
Un air du verbe mystérieux de l’erre du temps,
Je déroute
Et t’invente il n’y aura pas de toi si ce n'est toi
Invité.
Te savourer chocolat, tu m’as répondu,
Elémentaire,
Au moins tu te fidélises sur mes hanches en plus,
D’éphémère
Pour ne plus être deux voir d'à corps confondu,
Amer,
Dont un envoûtement boulimique d’insinue,
Me perds
Abreuves mon inspire de ton expire, nos
Latents,
Ces échanges comme venant d’un ancien
Temps
Qui surgit en commune mesure à pas scient
On s’attend,
Et je te souffle de franchir un autre mot
Autrement !
A nos marques, Es-tu prêt ? de partir, …
Feu !!!
A nos doigts fébriles d’écris sans paris
Des aveux
Accueillir ces larmes taries
Par nœuds
Avant je t’aurais dit pourquoi m’as-tu laissé
Des pleurs,
Là, je me dis… laisses moi pleurer,
C'est mieux !!!
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