30 décembre 2007
Autant d’adieu
A bout de quoi, si prêt ? Des lires sur ta joue mes lèvres ont prit hier ton projet qui coulait de ta prière À voir ce soupir de tes yeux me transe… Cet instant en ta présence où s’ouvrent nos langages caressés de veines pulsions, en perd fusion plantée...