1 avril 2013
Ebauche
Je suis plantée, mais je ne pousse
moi je croyais l'amour plus fort
d’une sève à l'autre comme source
un pacifique de douceur, une brousse
sans avoir, avec allées et mousse
Pour jouir de l’amour à la mort.
Quand je voyais au fond de tes yeux
Et que tes doigts à mon corps
trouvèrent asile dans notre nature
Parlaient, nos corps et lèvres pures
A faim de l’amour en nous deux
Dans l’haut delà des mots
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